« Au
cours de ce mois de juillet, nous avons eu quelques journées de canicule avec des affluences de 1800
entrées payantes mais comme tout équipement estival, une journée de pluie c’est 50 entrées. »
Tel est le bilan que nous dresse, ce samedi, Anne-Marie Bringuier, directrice du Centre Nautique Intercommunal.
Le vénérable équipement sportif qui se situe aux limites des trois municipalités qui le financent (Vénissieux, Lyon,et Saint-Fons) est très couru par un public jeune et moins jeune qui vient
parfois de loin, en quête de fraîcheur.
Situé en pleine ville, il surprend avec son mat unique et son chapiteau relevé en été. L’immense pelouse est accueillante. Le bassin ludique a
destinations des bambins et mamans, son bassin olympique et sa fosse à plongeon sont des atouts non négligeables
Outre sa physionomie, on ne bronze pas idiot dans ses murs. Le CNI propose aussi au cours de
ces deux mois, de nombreuses animations : château gonflable tous les jeudi, le trampoline trois fois par semaine, mini- football,volley , tennis de table sur la pelouse. Le complexe offre
aussi une initiation au kayak en piscine le matin à destination des centres sociaux.
Une fois par mois, il organise des tournois multisports. Celui du mois de
juillet a eu lieu ce vendredi. Cette saison, le CNI a innové, en proposant pendant le mois de juillet, une activité aquagym gratuite de 45 minutes
. Celle-ci a eu lieu à 12h15. Elle était ouverte à tous. « Elle a très bien fonctionné avec près de 60 personnes par cours. Nous avons eu même des adolescents qui sont joints aux dames. » précise
Anne-Marie Bringuier
Un nombreux
personnel surveille l’établissement pendant les vacances « Nous avons recours à des vacataires et saisonniers. On embauche aussi des jeunes des trois villes finançant le CNI, nous
recevons entre 30 et 50 demandes tous les ans. » ajoute la directrice des lieux.
Le 23 août, le CNI en configuration estivale, fermera ses portes. Après une semaine de fermeture technique mise à profit pour effectuer différents
travaux, l’équipement ré-ouvrira ses portes le 1 septembre avec son fameux chapiteau installé.
Cet équipement qui fêtera ses 40 ans en 2011 entame à l’automne une phase de
diagnostic avant de subir peut-être une sérieuse réhabilitation.
Par Sports Vénissians
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Ce samedi, le
sport vénissian a été fêté comme il se doit lors de l'inauguration du stade Laurent-Gérin.
La réhabilitation du stade datant de 1938 est une belle réussite.
Dans un contexte économique et social actuellement difficile, ce bel écrin est une recompense pour les futurs utilisateurs comme l'affirme
l'emblématique Maurice Persch de l'USV football.
La visite guidée effectuée aux élus municipaux et aux invités par Jean-Marc Baudin , directeur
des sports et de la mission jeunesse a permis de se rendre compte du côté grandiose des installations vénissianes. Du sud avec le gymnase Ostermeyer au nord avec tennis de "Fête
le mur", l'espace est immense et sans doute l'un des plus grands de la région. Avec trois terrains de football, un de rugby, des plateaux basket et handballn, bref une orgie d'installations
nouvelles normes pour les sportifs ou non pratiquants, les sports collectifs ont trouvé leur bateau amiral.
Cet espace est aussi ouvert à tous, mis à part les terrains honneurs.
Ce samedi , seul un ultime mystère restait à être levé : Qui couperait le ruban
tricolore?
Là aussi, on a joué collectif puisque ce sont finalement, André Gérin, Yolande Peytavin, Guy Fischer, Christian Falconnet mais aussi Andrée Loscos adjointe aux sports , Jacqueline Raffenot ex-adjointe aux sports Jacqueline Raffenot, des réprésentants de la préfecture et du CNOSF
ainsi que les deux représentants des clubs résidents Maurice Persch (USV football) et Michel Giulani (USV Rugby) ont eu le privilège de couper
le ruban inaugural. Un geste fort trés apprecié.
Une cérémonie haute en couleur venant après les discours de Pierre Bonnard président
de l’OMS et d’André Gérin.
Désormais député de la circonscription "mais encore un peu maire" comme l'affirme Pierre Bonnard , André Gérin a tenu a mettre en avant l’outil de cohésion sociale que représente ces
nouvelles installations. Un beau complexe mis au service des deux clubs résidents mais aussi du milieu scolaire.
Une réhabilitation financée à 90%
par les Vénissians et dont le prix avoisine les 4 millions 125 000 euros.
« La réalisation de cet équipement sportif, c’est avant tout une aventure humaine sur le long terme. Entre les prémices du projet à sa réalisation de nombreux hommes et femmes se sont
impliqués. Je tiens à les en remercier. Au dela de la pratique physique, au delà de la compétition, le sport est un des éléments qui contribuent aux grands équilibres sociaux de la cité. Le
sport c'est l'école de la vie. Malheureusement le financement de cet investissement prouve une fois encore le desengagement de l'Etat. Une fois encore, ce sont les
contribuables vénissians qui l'ont
financé en grande partie.» a tenu à dire
l’ex-premier magistrat de la ville.
Après la cérémonie officielle, place à la fête et aux animations et il est vrai que les organisateurs ont sorti le grand jeu.
Aux sons de la Tribu Hérisson, ou du groupe Bumtchark, les vingt-six associations sportives municipales présentes ont pu initier
enfants et adolescents à leurs disciplines. Certains clubs comme la GR ont réussi même à faire des inscriptions. Une idée sans doute à
creuser.
Les stands du tir à l’arc mais les les karts à pédales ou le mur d’escale ont fait le plein. . Dans une ambiance bonne enfant, les familles
ont dû faire la queue aux stands de l’elastotrampoline, au poney club. ou au parcours
d'accrobranches. Les démonstrations des sports de rues ont eu un succès fou : les
Crasy Dunkers, basketteurs volants, ainsi que le hip-hop de l'EPJ Charreard ont rameuté le nombreux public présent.
L’après-midi s’est terminée en feu d'artifice par un match de rugby entre une selection régionale junior et le CS Bourgoin-Jallieu et un match
de football féminin espoir entre l'OL et Saint-Etienne. Les joueuses stéphanoises ne revenant pas de la qualité des installations proposées aux Vénissians.
Une fête très appréciée par ceux ce qui se sont déplacés ce samedi venteux. Une initiative sportive estivale d'un grand intérêt et au délà de l'inauguration sans doute à renouveler.
Les Photos :
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La fréquentation
d'une piscine ouverte au public dépend du temps. En ce mois de juillet constrastée, le bilan de la piscine municipale Auguste Delaune s'affiche en beau. « La fréquentation de ce mois a été
bonne. La saison estivale, courte pour l'infrastructure demarre sous de bons auspices. » affirme Christian Beslin, le directeur pendant ce mois de
juillet.
