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Joueur emblématique de l'AS Minguettes, Samir Daouadji est passé depuis de l'autre côté de la barrière, il est devenu responsable de l'école de sport du club asémiste. Pour donner un coup de main à l'équipe fanion en difficulté, il a rechaussé ses crampons pour l'amour qu'il porte à son club formateur. A 36 ans, ce défenseur dans l'âme aura été au four et au moulin ce samedi face à Seyssinet toujours prompt à recadrer , encourager les jeunes qui composent l'effectif. Il nous livre son analyse de cette première victoire en championnat engrangée par le collectif.
" Au vu de la prestation affichée lors de notre première mi-temps où nous devions avoir un avantage minimum de 2 à 0, je n'arrive pas à concevoir notre fébrilité après que l'on ait réussi à marquer ce second but en début de seconde Je concède qu'il peut s’expliquer par une peur compréhensive après de mauvais résultats mais aussi par un changement de tactique du coach adverse. Malheureusement en contre, on n'a pas su sceller le sort du match. Il a fallu resserrer les rangs et retrouver des valeurs de solidarité. Ce soir il fallait être 11 soldats, nouis l'avons fait, il faudra continuer."