Championnat de France d’escrime par équipes –
Nationale 1 – Epée masculine – 8e de finale
Gymnase Jacques Brel
Une quarantaine de spectateurs
La Garde Républicaine de Paris bat Vénissieux Escrime 40 à 36
Arbitrage : Thierry Saunier
Pour Paris GRP : Adrien Penso, Pierre Alain Picart, Louis-Wavier Lachenal et Romain Vialle – maître d’arme : Christian Millot
Pour Vénissieux Escrime : Hervé Lapierre, Grégory
Jeunet-Mancy, Giacomo Paravicini et
Stéphane Vienne – maître d’armes : Julien Guichardan
L’évolution du match :
Picart / Vienne : 1/0, 1/1, 1/2, 1/3, 2/4, 3/4, 3/5
Penso/ Jeunet-Mancy : 4/6, 4/7, 5/7, 5/8, 5/9, 6/9,
Lachenal/Paravicini : 7/10, 8/10,
Picart/Jeunet-Mancy : 8/11, 9/11, 9/12, 10/12, 10/13, 11/13, 12/14
Lachenal/Lapierre : 12/15, 13/16, 14/16, 15/17, 16/17, 17/18
Penso/Paravicini : 17/19, 18/19, 18/20, 19/20, 20/20, 21/21, 21/22, 22/23 , 22/24
Lachenal/Jeunet-Mancy : 23/24
Penso/ Lapierre : 28/28, 29/28, 30/28, 30/29, 31/29, 32/29, 33/30, 34/30, 35/31, 35/32, 36/32, 36/33, 36/34, 37/34, 38/34, 38/35, 39/35, 39/36, 40/36
Ce samedi au gymnase Jacques Brel, dans le 8e de finale du championnat de France élite par équipes à l’épée les escrimeurs vénissians ont longtemps cru venir à bout La Garde Républicaine de Paris.
Ils ne brillaient pas les gendarmes auréolés de nombreux titres internationaux après les huit premiers relais des Vénissians, Stéphane Vienne, Grégory Jeunet-Mancy, Giacomo Paravicini et Hervé Lapierre. Les Vénissians avaient mené tout le match et compté 4 touches d’avance lors du duel Penso /Jeunet Mancy. (9 à 5,pour les locaux). Pourtant c’est au cours de la dernière rotation bien préparée par le maître d’armes du GRP, et lors de l’assaut entre l'ex champion du monde junior Adrien Penso et le Vénissian Hervé Lapierre que les Parisiens ont fait pencher la balance en leur faveur s’imposant 40 à 36 au nez et à la barbe de Vénissians profondement dépités.
Les réactions :
Aurélien Tivillier président de
Vénissieux Escrime
Je suis très décu . C’était le principal objectif de la saison. Avec notre recrue suisse (Giacomo
Paravicini), je pensais avoir le petit plus. En face il y avait une grosse équipe expérimentée. Tactiquement, ils nous ont été supérieurs. Lachenal a préféré mettre une seule touche pendant tout
son combat pour donner à Penso le moyen de conclure. Bien joué!
Julien Guichardan maître d'armes de Vénissieux:
Commenter cet article